Les chiens enragés, quand ce n’était pas les loups, semaient la panique au 19e siècle. Et il avait de quoi quand on lit les rapports des maires, gendarmes et préfets d’Ille-et-Vilaine. Ce n’est qu’au 20e siècle que cette terrible maladie régressa, grâce aux dispositions prisent pour la prévenir et à Louis Pasteur.
Constructions en bauge (dossier et vidéo)
Dans le Bassin rennais on peut encore admirer beaucoup de constructions en terre. Cet article, illustré par de multiples exemples acignolais, vous dévoilera la technique de construction de ces bâtiments anciens… mais aussi, parfois, récents. La restauration d’un manoir à Trimer (Ille-et-Vilaine) est l’occasion d’une formation à la construction de murs en bauge (filmé par le club vidéo THF 36 de Thorigné-Fouillard).
De quelques coups de vent sur Acigné et la région
Le réchauffement climatique et ses catastrophes en cascade nous font presque oublier que les coups de vent dévastateurs furent de toutes les époques. Illustration avec deux exemples locaux, l’un au XVIIIe et l’autre au XIXe siècle.
Dans les tiroirs d’Eugène de Maugère
Les tiroirs d’Eugène Maugère, du village d’Épargé, recèlent des trésors. D’humeur toujours malicieuse, notre homme conserve une multitude de documents curieux, amusants. Et, au milieu de ceux-ci des photographies familiales permettant de parcourir une jeunesse à la ferme, comme la…
Le carnet de captivité de Baptiste Fougeroux
Après cinq ans de captivité en Allemagne, Baptiste Fougeroux, cordonnier acignolais, ramena au pays un carnet de notes prises sur place et précieusement conservé par son fils. Un témoignage exceptionnel qui nous permet de mieux comprendre l’univers mental des captifs et son évolution au fil des mois et des années de stalag, expérience qu’eurent à vivre 1 800 000 soldats français, dont 200 Acignolais.
Le sabotier en sa hutte
Derrière la carte postale intitulée “Une hutte de sabotiers près d’Acigné”, des représentants du petit peuple de la forêt de Rennes qui vivait en marge de la société. Habitués à de rudes conditions de vie mais appréciant leur relative liberté par rapport au monde paysan, leur intégration dans la société rurale fut précipitée par l’écroulement du marché du sabot au XXe siècle
La mémoire des arbres dans la toponymie acignolaise
Les noms des parcelles et des lieux dits sont transmis depuis les temps immémoriaux. Avaient été adoptés des signes distinctifs qui pouvaient tenir à la végétation. Cette étude, s’appuyant sur le premier cadastre, permet un petit voyage botanique et poétique dans le paysage d’hier.
Anne Le Douarec, la femme du médecin d’Acigné, écrivait
Anne Le Douarec, la femme du médecin d’Acigné dans les années 1940 écrivit le “Journal d’une femme de médecin”. Avec de hautes qualités littéraires, elle nous a laissé un témoignage original sur la petite société acignolaise d’alors.
La ramaougerie de pommé
Michel Leverrier, grand connaisseur de la ramaougerie de pommé, cette tradition culinaire et festive de Haute-Bretagne, nous a accordé un entretien. Histoire, recette et renouveau dans les années 1970-1990, jusqu’à la Fête d’automne à Acigné. Bonus: une vidéo autour d’une ramaougerie de pommé à Acigné en 1990.
Les débuts de la gare de Noyal-Acigné
Le chemin de fer fut un grand chantier du Second Empire et la station d’Acigné-Noyal entra en fonction en 1857. Bouleversant les transports, cette innovation fut préalablement à l’origine de débats et d’arbitrages entre les deux communes voisines et, ultérieurement, de péripéties variées, petites ou grandes.