
Napoléon aurait-il des racines à Acigné et dans la proche région ? Parle-t-on du premier ou du troisième du nom ?


Un curieux néo-toponyme breton, EGINEG, est apparu sur des panneaux à la gare de Noyal-Acigné et dans la campagne sans que les Acignolais ou leurs représentants n’aient été consultés ni même informés. Première réaction: « Ah bon, Acigné a dû s’appeler ainsi il y a longtemps ». Mais non, pas du tout ! Georges Guitton a mené l’enquête pour retrouver l’origine de cette innovation et de cette imposition autoritaire.
Pierre Anger, un Acignolais adepte des prises de vue photographiques et cinématographiques, nous a laissé des images précieuses de la Libération d’Acigné et de Rennes en 1944, prises avec un à propos remarquable.
Du temps de Charlemagne, quelques traces sont restées sur notre territoire, qu’Alain Racineux nous présentent.
Expédition punitive d’une troupe de gardes nationaux à Acigné en 1792